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2006

Fin 2006, la Verrerie de Saint-Just en France contacta Van Ruysdael pour partager une vision audacieuse : combiner leur verre soufflé à la bouche avec le verre sous vide HPI que Van Ruysdael produisait à l'époque. L’objectif ?  Produire des fenêtres historiques avec une isolation inégalée.
Cependant, la recherche appliquée révéla une vérité surprenante. Cette isolation supérieure créait un climat intérieur indésirable avec des conséquences néfastes, prouvant que l'approche d'isolation traditionnelle avec seulement des valeurs U élevées fonctionne de manière contre-productive.

Cette recherche soulignait donc les performances sans compromis du verre d’origine Van Ruysdael. En s'éloignant d’un seul objectif, c’est à dire une valeur d'isolation la plus basse possible, et en allant au-delà de tout autre type de verre isolant, Van Ruysdael reçut des éloges internationaux.  Les publications décrivaient ce verre comme « un produit unique qui contribue à un climat intérieur confortable et sain, tout en garantissant la valeur future des fenêtres historiques avec l'équilibre naturel nécessaire ». 

Le verre Van Ruysdael devenait rapidement une icône parmi les architectes de la restauration en France, ouvrant les portes de lieux prestigieux tels que les musées, les maisons de vin et de mode, et même le Palais des Bourbons et l'Élysée.

La combinaison de la transparence et de la déformation du verre Van Ruysdael permet un jeu de lumière fascinant et reste une pierre angulaire pour les restaurations. Avec une connaissance approfondie des caractéristiques historiques et de l'équilibre naturel, nous faisons évoluer cet attrait intemporel vers une nouvelle ère.

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