2002
L'avenir de notre nature et de notre culture est entre nos mains
À une époque où l’isolation était la norme, Michel Trompert rêvait d’un monde dans lequel nature et culture seraient en parfait équilibre. Et d'un environnement de vie confortable, sain et durable.
Michel a vu ce que les autres n'ont pas remarqué. Le verre isolant retient certes la chaleur, mais au détriment d'un patrimoine de qualité et de la santé. De plus, son cycle de vie est court. Cela signifie plus de production, plus de déchets, plus de problèmes de santé et de dégâts environnementaux. Il s’est demandé : pourquoi isoler si cela passe à côté de l’essentiel ?
Sa réponse : du verre à vitres transparent, tel qu'il fonctionne depuis des siècles. Pas de vide, d'entretoises ou d'autres éléments vulnérables inutiles.
Du verre parfait et solide, qui réfléchit la chaleur et permet donc d'économiser plus d'énergie et de préserver la beauté naturelle.
Fabriqué à partir de matériaux moins nombreux mais de qualité supérieure pour les besoins d’aujourd’hui et de demain.
Avec un brevet et la première vitre installée à un endroit bien visible dans la tour (« het Torentje ») du Binnenhof, le verre Van Ruysdael devint la nouvelle norme du futur.
Les nombreux projets qui suivirent ont été conçus pour être à l'épreuve du temps. Ils incarnent l’équilibre parfait entre nature et culture.