L’essence du verre
La qualité du verre va bien au-delà d’une valeur d’isolation. Le verre détermine en grande partie la sécurité, la qualité de la lumière, de l’air et du son, la manière dont la chaleur et l’humidité se comportent, ainsi que notre perception du confort.
Pourtant, la qualité du verre est aujourd’hui souvent réduite à des valeurs d’isolation, principalement au service d’une étiquette énergétique des systèmes qui simplifient la réalité et dissimulent la nature éphémère des choses.
Van Ruysdael perçoit les performances autrement. Non comme un instant figé, mais comme un ensemble en équilibre avec son contexte. Un verre qui conserve son efficacité, respecte l’architecture et traverse les générations. Pas de compromis, mais une harmonie. Pas d’extrêmes, mais un équilibre. Et c’est précisément là que réside le véritable progrès.
Performances du produit
Impact du produit
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Diagnostic de performance énergétique (DPE)
Alors que l’étiquette énergétique se fonde uniquement sur une économie d’énergie théorique et sur une période éphémère de dix ans, Van Ruysdael va plus loin. Plus loin que la meilleure classe énergétique. La fonctionnalité est pensée en fonction de la réalité : des personnes, des bâtiments, de l’architecture, de la protection du patrimoine, de l’entretien et de l’impact environnemental. Non pas pour dix ans, mais dès l’acquisition et pour des générations à venir.
L’étiquette énergétique semble être une mesure de durabilité, mais en ce qui concerne le verre de fenêtre, elle se limite à une valeur d’isolation et repose sur la théorie. En pratique, les performances calculées s’écartent souvent de plusieurs centaines de pour cent de la consommation réelle, comme le confirment le TNO, le PBL et l’Université de Gand.
Cette focalisation unilatérale sur l’isolation et les incitations financières porte atteinte à l’architecture et au patrimoine, et perturbe des systèmes naturels et physiques du bâtiment qui fonctionnaient sans difficulté depuis des siècles. De plus en plus souvent, ces déséquilibres sont compensés par des systèmes mécaniques de ventilation et de détection supplémentaires, transformant la durabilité en simple traitement symptomatique qui annule les gains initiaux.
Ce que l’étiquette ignore, ce sont les facteurs réels : l’impact des matériaux, la production, le transport (souvent intercontinental), l’entretien supplémentaire, la durée de vie, la qualité du climat intérieur et l’évolution du climat lui-même.
C’est pourquoi Van Ruysdael choisit une approche cohérente et intégrée : une vision globale qui protège les bâtiments, assure le confort des personnes et crée une valeur qui perdure à travers les générations.